OBJECTIFS : Prenez le temps d’un massage cranio-sacré pour vous détendre tout en stimulant vos capacités d’auto-guérison!
PRINCIPES : Le massage cranio-sacré consiste en une succession de pressions très douces, en différents points du cuir chevelu, du visage, du cou, et du bas du dos, qui favorisent une bonne rythmicité de la circulation céphalo-rachidienne, depuis la tête jusqu’au sacrum.
Cette bonne rythmicité céphalorachidienne, en se propageant ensuite d’elle-même dans toutes les directions de l’organisme, interagit avec l’ensemble de l’organisme pour en favoriser l’énergie vitale et l’auto-guérison.
DÉROULEMENT DE LA SÉANCE : lors de votre prise de rendez-vous, nous échangeons sur vos besoins et contre-indications éventuelles.
A votre arrivée, nous échangerons afin de valider qu’aucune contre-indication n’est apparue depuis votre prise de rendez-vous. Ensuite, vous prendrez place dans la salle de soin. Il ne sera pas nécessaire de vous dévêtir. Cependant, je vous recommande de porter des vêtements amples afin de faciliter la circulation sanguine et la respiration. Vous vous allongerez sur le dos, puis, si vous en ressentez le besoin, vous pourrez vous couvrir à l’aide d’un drap de bain. Le massage pourra alors commencer.
SUPPORT : le massage cranio-sacré est l’un des rares massages où l’huile de massage est facultative. Ainsi, selon votre convenance, soit le massage sera effectué à main nue, soit j’utiliserai une huile végétale neutre, type huile d’amande douce.
DURÉE : le massage cranio-sacré dure entre 45 min et 1h00.
INDICATIONS : le massage cranio-sacré est préconisé dès la sortie de l’enfance, pour favoriser le lâcher prise et aider au développement des capacités d’auto-guérison de votre organisme. Il peut-être pratiqué ponctuellement en réponse à une situation de stress éprouvant, ou bien régulièrement pour entretenir votre état de bien-être.
CONTRE-INDICATIONS : dans les situations suivantes, je vous préconiserais une alternative au massage cranio-sacré.
chez les enfants en bas âge,
en cas d’anévrisme cérébraux ou antécédents d’anévrismes cérébraux,
à la suite d’une blessure du crâne, d’une commotion ou d’une hémorragie cérébrale,
au cours de grossesse à risque
en cas de maladies psychiques
en cas de tumeur(s) cérébrale(s) ou autres cancers, pour ne pas disséminer de métastases.
